Christian AMET
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En bref :
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Pour seule autre photo, vous devrez pour l'instant vous contenter de celle-ci ... Laissez le temps au site de devenir adulte. Mais vous pouvez d'ores et déjà constater mon plus grand sérieux, même avant l'âge de raison. A cette époque, je passais mes loisirs à courir dans les prés pour capturer les plus beaux papillons, machaons, morios et autres vanesses ... Parfois, mon chat "Biniou" me suivait. |
J'allai bien sûr à l'école, cette école que j'avais observée depuis chez moi dès mes premières années, et qui m'intriguait par l'alternance de chahut et d'ordre qui rythmait les journées. Ce fut une formalité plutôt agréable, une sorte de passage obligé, sans difficulté majeure. Quatre ans de primaire en classe unique, c'était le rêve, j'avais toujours la ressource de m'intéresser aux cours des autres niveaux. Quatre années de collège, j'aimais les maths, le français, la géographie. Concours d'entrée à l'école normale primaire, une place de "major" et un an d'internat à Mirecourt inauguré par un bizutage en règle ... des souvenirs peu enthousiasmants quand on n'a guère que quatorze ans.
Heureusement, l'école normale des Vosges n'assure pas la filière C. Je poursuis mes études à Nancy, en classe mixte, et profite de l'intermède de mai 68. Après le bac, lycée Poincaré, maths sup, maths spé et, de justesse, je décroche une place à l'ENS de Saint-Cloud. J'aurais peut-être eu un tout autre avenir professionnel si j'avais opté pour l'informatique plutôt que pour l'algèbre, mais le fortran m'a rebuté. Je suis bien avancé maintenant avec mes connaissances sur les anneaux noethériens ...
C'est en 1975 qu'on m'a "lâché" face aux élèves du lycée Georges de la Tour à Metz, "lâché" est bien le mot, car je n'avais aucune formation pédagogique. Je remercie d'ailleurs les élèves de cette année-là qui ont eu le mérite et la sagesse d'organiser leur progression au moins autant que moi !
Nommé à Saint-Dié
en 1977, je m'y suis cherché une place dans diverses activités,
aidant notamment au lancement de la radio associative Radio-Contact, avant
de choisir de créer le club de Scrabble qui absorbe depuis une grande
part de mon temps libre.
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Plusieurs visiteurs ont souhaité connaître les origines de mon nom de famille. L'information ne semble pas accessible par Internet auprès des sites consacrés. La fréquence importante du patronyme dans les hautes vallées de la Moselle et de la Moselotte donne cependant une piste plausible en liaison avec un disciple de Saint Colomban décédé à Remiremont en 628. Nommé Amatus, en français Amé ou Amet, ce moine d'origine grenobloise a participé à la création du monastère de Remiremont. Canonisé, il donna son nom à la commune de Saint-Amé. Parallèlement, Amet devint un prénom usité. Ainsi, quand la désignation de noms de famille fut la règle, ce qui s'est fait lentement du XIIème au XVIème siècle, le fils d'un Amet voyait son nom tout trouvé. Mais la stabilité des patronymes n'était pas garantie malgré l'ordonnance royale de 1474. Par exemple, le dénommé Blaison Amet est l'ancêtre d'une lignée de Blaison. J'apprécierais toute information complémentaire, notamment toute indication reliant les Amet vosgiens à leurs homonymes d'Allier ou d'Ille-et-Vilaine.
E-mail : chr.amet@infonie.fr ou plus ludiquement en cliquant sur Gaston Lagaffe. ICQ : # 13693348 ... tombé en désuétude ... |
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